Cyril Cheveu et Ivan Beauchêne : « Myral a tous les arguments. A nous de les porter haut et fort ! »
Notre équipe s’étoffe, notre impact grandit ! Dans un contexte de forte dynamique, Myral renforce sa présence commerciale en région avec l’arrivée de deux nouveaux chargés d’affaires : Cyril Cheveu (Nord-Ouest & Île-de-France) et Ivan Beauchêne (Sud-Ouest & Export). Ces recrutements marquent une nouvelle étape dans le développement de l’entreprise, qui accompagne la montée en puissance de notre offre et de notre trajectoire environnementale. Du commerce au bureau d’études, en passant par l’ADV, c’est toute l’équipe qui se structure pour répondre à l’accélération du marché de la rénovation bas carbone.
Rencontre croisée avec Cyril et Ivan, deux commerciaux engagés.
Quel est votre parcours respectif et ce qui vous anime dans votre métier ?
Cyril Cheveu : Je viens du commerce, j’ai vraiment cette fibre. Durant mon parcours, j’ai enchaîné les expériences dans différents secteurs du bâtiment : équipements techniques, sanitaires, solutions pour les collectivités… J’ai toujours aimé la relation client, mais à condition de me sentir utile. Mon moteur, c’est ça : comprendre les besoins – même implicites – et apporter une vraie solution. Je veux que ce soit gagnant-gagnant, pas de la vente forcée. Alors ce qui me plaît chez Myral, c’est qu’on n’est pas juste dans la vente d’un produit : on porte un système, une vision, un accompagnement global qui ont une utilité sociale et environnementale.
Ivan Beauchêne : Moi aussi, j’ai un profil de commercial, avec une forte appétence internationale. J’ai étudié le commerce et les langues, vécu en Espagne, au Chili, voyagé en Asie. J’ai travaillé pour plusieurs fabricants, souvent à l’export. J’aime comprendre les projets en profondeur, poser les bonnes questions, et faire émerger des solutions concrètes. Ce qui me porte, c’est le sens de ce qu’on vend. Il faut que je sois convaincu pour convaincre. C’est le cas chez Myral.
Comment avez-vous découvert Myral ? Et qu’est-ce qui vous a marqué en intégrant l’entreprise ?
Cyril Cheveu : J’ai postulé via une annonce. Quand j’ai découvert le site, la vidéo d’intro m’a sauté aux oreilles et aux yeux ! J’ai tout de suite senti une entreprise engagée, avec une solution qui répond à de vrais enjeux – passoires thermiques, transition écologique… À l’usine, j’ai été frappé par la propreté du site, la qualité de l’outil de production et l’implication de tous. C’est rare. Et puis, dès les premiers jours, on ressent l’engagement des équipes. Il y a une vraie solidarité entre services, un sens du collectif. C’est aussi une entreprise qui allie ambition et proximité : on sent la volonté de grandir, de structurer une offre innovante, tout en gardant les pieds sur terre. Il y a de l’écoute, une grande réactivité, et surtout une très forte expertise métier.
Ivan Beauchêne : De mon côté, j’ai été recommandé par un autre chargé d’affaires : Ludovic Gaudin que je connais depuis longtemps. On a échangé, j’ai postulé d’abord pour le poste de Cyril… Mais le directeur Julien Bagnard a senti que c’était le bon moment pour relancer la présence dans le Sud-Ouest et surtout d’ouvrir Myral à l’international. Il m’a donc proposé un poste un peu sur-mesure ! Ça m’a marqué. Et ce que j’ai ressenti en arrivant : c’est qu’ici, on fabrique vraiment. L’usine, les équipes, la maîtrise des services… ça change tout. Et puis il y a les valeurs, l’envie sincère de faire bouger les lignes en matière d’environnement. Ça me parle profondément.
« Une période passionnante pour rejoindre l’aventure »
Justement, comment percevez-vous l’engagement environnemental de Myral ? Et en quoi cela change votre quotidien de commercial ?
Ivan Beauchêne : Pour moi, c’est un vrai différenciateur. On ne vend pas juste une façade performante, on vend une solution bas carbone, qui anticipe les futures réglementations. Quand on parle de matières recyclées, de production locale, de contribution carbone, on n’est pas dans le greenwashing. C’est du concret, mesurable. Et ça nous donne de la crédibilité face à des maîtres d’ouvrage qui veulent des preuves.
Cyril Cheveu : Je suis sur le secteur Nord-Ouest et Île-de-France, deux zones où les enjeux environnementaux sont devenus prioritaires. On me parle de RE2020, de FDES, de labels, dès les premières discussions. Myral coche toutes les cases, mais va plus loin : on ne compense pas pour se donner bonne conscience, on réduit d’abord, on innove. C’est motivant de défendre une entreprise qui prend ses responsabilités.
Quel regard portez-vous sur la dynamique actuelle de Myral qui a rejoint le groupe Aramis et qui développe un projet singulier sur le marché ?
Cyril Cheveu : Franchement, c’est stimulant. On sent une vraie montée en puissance, avec de nouveaux profils, des investissements dans l’outil industriel, une structuration claire de l’offre et le soutien d’un groupe industriel français. Il y a une énergie collective, un projet d’entreprise porté par une vision long terme, notamment avec Neutral.ITE 2025. C’est une période passionnante pour rejoindre l’aventure.
Ivan Beauchêne : Oui je partage et je suis impressionné par la transversalité. Le commerce n’est pas isolé, on travaille main dans la main avec le bureau d’études, la technique, la production. C’est fluide, réactif. Cette cohérence interne se ressent à l’extérieur : les clients sentent qu’on est capable de tenir nos engagements. Et ça change tout.
Sur la partie environnementale, « on ne surfe pas sur une tendance, on construit un modèle »
Qu’est-ce qui, selon vous, rend l’offre Myral particulièrement pertinente dans le contexte actuel ?
Cyril Cheveu : C’est une solution complète. On ne vend pas qu’un panneau, on vend une enveloppe, un service, une réponse aux enjeux du bâtiment. Et techniquement, on a une longueur d’avance : pas d’ossature, des finitions haut de gamme, une pose rapide, même en site occupé.
Ivan Beauchêne : Et surtout, on recycle des déchets pour réduire l’impact carbone. Ça a du sens. Notre offre d’ITE, c’est une promesse concrète : faire mieux, plus vite, avec un vrai engagement environnemental. On ne surfe pas sur une tendance, on construit un modèle.
Vous avez chacun de beaux challenges pour développer vos secteurs… Sur quoi allez-vous vous appuyer ? Votre stratégie ?
Ivan Beauchêne : Moi je repars un peu de zéro sur 26 départements du Sud-Ouest et je lance l’export. Il y a tout à faire, mais le potentiel est énorme. J’active les réseaux, je qualifie les contacts, je participe à des salons pro. Et j’avance pays par pays. L’idée est de prioriser des marchés proches, francophones ou aux normes proches de la RE2020. Et surtout, je veux créer des synergies avec des acteurs qui partagent nos valeurs.
Cyril Cheveu : De mon côté, en Île-de-France et dans le Nord-Ouest, le tissu est très dense. Mon rôle est de créer du lien, de faire connaître notre solution aux bons interlocuteurs, et de démontrer en quoi elle répond mieux que les autres aux contraintes réelles : sites occupés, délais serrés, exigences environnementales, esthétique personnalisée. Je vais travailler à renforcer notre présence sur les marchés tertiaires et les projets industriels. Notre bardage non ventilé a un vrai potentiel. Je m’appuie aussi beaucoup sur les entreprises de pose et les archis prescripteurs déjà convaincus. Myral a tous les arguments pour convaincre, à condition de bien les porter.
Dans un contexte tendu pour le bâtiment, qu’est-ce qui vous rend optimistes ?
Cyril Cheveu : L’obligation de rénover est là ! La France compte près de 5 millions de passoires thermiques. Et même si la situation politique est compliquée, l’objectif national reste de rénover 200 000 logements collectifs par an d’ici 2030. Et cette obligation s’accompagne d’une prise de conscience, même si elle met du temps à se traduire dans les actes. Les acteurs veulent des solutions plus rapides, plus fiables, plus vertueuses. Myral répond à cette attente. Et les chantiers ne manquent pas : la rénovation est un marché d’avenir.
Ivan Beauchêne : Je suis d’accord, l’avenir appartient aux solutions responsables. Et de mon côté ce qui me rend également confiant, c’est que je crois à la valeur des relations. Ce qui fait la différence, c’est la capacité à écouter, à accompagner, à être là dans la durée. Myral a bâti une offre solide, mais aussi une culture de la relation de confiance : on a les bons outils, les bonnes personnes, et le bon état d’esprit !